La trêve hivernale est terminée : voici trois astuces pour sécuriser efficacement votre résidence contre les squatteurs.
Résidences secondaires ou principales : aucune habitation n’est aujourd’hui à l’abri du squat, un problème moins fréquent que les cambriolages mais tout aussi préoccupant pour les propriétaires. Cependant, il existe diverses méthodes, plus ou moins complexes, pour se prémunir contre ce fléau.
Sécurité résidentielle : état des lieux et défis actuels
Avant d’explorer des solutions spécifiques pour protéger votre maison contre les squatteurs, il est important de comprendre l’état actuel de la sécurité résidentielle. Cela pourrait inclure des informations sur les tendances récentes en matière de cambriolages et de squat, ainsi que sur les vulnérabilités courantes auxquelles les propriétaires sont confrontés.
Cette compréhension globale peut vous aider à mieux cibler vos efforts de protection et à rester vigilant face aux nouvelles techniques de cambrioleurs dont vous devez vous méfier.
Lois et droits des propriétaires face aux squatteurs
La nouvelle loi renforce la répression contre les squatteurs en créant une infraction pour occupation frauduleuse de logements ou de locaux commerciaux, avec des sanctions sévères, notamment des peines d’emprisonnement et des amendes substantielles.
Elle sécurise également les propriétaires en introduisant des mesures comme la résiliation automatique en cas de défaut de paiement dans les contrats de location, la réduction des délais procéduraux, et la possibilité de poursuivre les expulsions pendant la trêve hivernale dans certains cas. Cependant, l’efficacité de ces mesures dépendra de leur application.
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Gardez votre maison à l’abri du squat : 3 méthodes infaillibles
1. Mettre en place des barrières physiques
Une première étape importante pour protéger votre domicile consiste à mettre en place des barrières physiques. Vous pouvez envisager l’installation de grillages autour de vos espaces extérieurs, la pose de portails ou de barrières, et même la création de barreaux aux fenêtres. Dans certains cas, il peut être nécessaire de faire appel à des professionnels pour mettre en place des panneaux anti-squat, des serrures multipoints, ou même une porte blindée.
Pour renforcer encore davantage la sécurité de votre maison, n’oubliez pas de prendre en compte la porte de garage, qui peut offrir non seulement une protection solide contre les intempéries, les cambriolages et les nuisances sonores, mais aussi contribuer de manière significative à l’esthétique de votre résidence.
2. Assurer une présence, même en cas d’absence
Qu’il s’agisse de votre résidence principale ou secondaire, une maison qui semble habitée est moins susceptible d’être squattée. La présence de mouvements, même intermittents, peut dissuader les squatteurs. Pendant vos absences, assurez-vous qu’un proche ou un voisin puisse rendre visite à votre domicile de manière aléatoire. Ces visites devraient inclure des tâches telles que la collecte du courrier, l’entretien de l’extérieur, et d’autres activités pour créer l’apparence d’une présence constante.
3. Mandater une société de télésurveillance
De nombreuses sociétés privées proposent des services de télésurveillance à distance. Ces services incluent l’installation de capteurs, de systèmes d’alarme, de caméras de vidéosurveillance à l’intérieur et à l’extérieur de votre domicile. Le coût mensuel moyen de ces services est d’environ 30 € et comprend l’intervention de professionnels de la sécurité en cas d’alerte, ainsi que le matériel nécessaire. Vous pouvez également opter pour l’installation de caméras et d’alarmes connectées pour une surveillance de base.
En cas d’intrusion, il est recommandé de déposer une plainte pour violation de domicile auprès des autorités compétentes. Dans certaines situations, une procédure accélérée peut être mise en place pour expulser rapidement les squatteurs.
